BIENVENUE

Bonjour !

Je vous souhaite la bienvenue dans un univers consacré à l'art,
les traditions, la qualité de vie et aux produits français fins et/ou bio. ...

Cordialement

Dominique Goudot Hamon

Bonjour ! Je vous souhaite la bienvenue dans un univers consacré à l'art, les traditions, la quali

Bonjour !  Je vous souhaite la bienvenue dans un univers consacré à l'art, les traditions, la quali

Moteur de Recherche dogham Google

ANNUAIRE PARTULIERS MOBILES

toolbar powered by Conduit
"Ignorance est mère de tous les maux." -
François Rabelais

NEW CLASSICAL

L’œil de Google ausculte les plus beaux tableaux des grands musées

A Collection of Greek and Roman sculptures

samedi 23 octobre 2010

LA RENTREE LITTERAIRE 2010

http://www.evene.fr/info/rentree-litteraire/


Treize romans seront tirés à plus de 50.000 exemplaires

le 18 Août 2010 à 11:40
     

UN AUTOMNE À L'OPÉRA

Les incontournables

UN AUTOMNE À L'OPÉRA

Partager  Partager sur Google Partager sur MySpace Partager sur Facebook Partager sur Twitter Partager sur Wikio Partager sur Viadeo Partager sur Yahoo Buzz 

Est-ce une retombée de l'effet Gérard Mortier qui, lorsqu'il était à la tête de l'Opéra national, privilégia le XXe siècle ? Plusieurs maisons d'opéra nous invitent, cet automne, à redécouvrir certaines partitions majeures, parfois un peu oubliées, composées après 1900. Tour d'horizon à Paris et en province.

A Paris, d'abord, on assiste, à l'opéra Bastille, à une intéressante confrontation entre deux esthétiques : le vérisme du 'Tryptique' de Puccini (1918), héritier direct du XIX siècle (jusqu'au 27 octobre), contre la modernité de 'Mathis le peintre' d'Hindemith (1938), tournée vers l'avenir (du 16 novembre au 6 décembre). D'un côté, Philippe Jordan au pupitre et Luca Ronconi à la mise en scène pour les trois opéras en un acte de Puccini, très rares à Paris, de l'autre, Christophe Eschenbach et Olivier Py pour Hindemith contribuent à créer l'événement cet automne. Quant aux nostalgiques des années soixante-dix, ils privilégieront la version mythique des 'Noces de Figaro' signée Giorgio Strehler qui, en 1973, inaugura l'ère Libermann au Palais Garnier. Incontournable ! (du 16 octobre au 24 novembre, et du 13 mai au 7 juin)

Au Théâtre des Champs-Elysées, son nouveau directeur Michel Franck propose aussi bien les audaces de 'Passion' de Pascal Dusapin, mis en scène par la décapante chorégraphe allemande Sasha Waltz (jusqu'au 10 octobre), qu'une version de concert de l'Alcina de Haendel (le 29 novembre), avec Marc Minkowski au pupitre et deux des plus belles voix actuelles, la soprano Anja Harteros et la mezzo Vasselina Kassarova. L'autre tentation pour les amateurs de baroque est le flamboyant 'Orlando' de Haendel à l'Opéra de Lille (jusqu'au 23 octobre), avec Emmanuel Haïm et son 'Concert d'Astrée', dans une mise en scène de l'astucieux David McVicar. L'opéra sera également au Théâtre des Champs-Elysées (du 2 au 9 novembre) et à l'Opéra de Dijon (du 20 au 25 novembre).

Grand directeur, Rolf Liebermann était aussi excellent compositeur. Le Grand Théâtre de Bordeaux nous le rappelle, du 26 novembre au 1er janvier, avec 'L'Ecole des femmes', d'après Molière (1955) que met en scène Eric Genovèse, sociétaire de la Comédie française. Une œuvre forte, où paraît Molière lui-même et qui invite à une réflexion en profondeur sur les relations humaines.

Jusqu'au 16 octobre, la nouvelle direction de l'Opéra de Nice joue une carte plus sage, mais très brillante avec les 'Dialogues des Carmélites' de Poulenc (1957), mis en scène par l'inventif Robert Carsen, avec une distribution somptueuse réunissant notamment June Anderson, Sophie Koch et Jean-Philippe Lafont, sous la baguette de Michel Plasson.

Au Capitole de Toulouse qui rentre dans ses murs après une année de travaux, une autre partition culte de notre temps sera jouée, du 19 au 28 novembre, avec 'Grandeur et décadence de la ville de Mahagonny' de Kurt Weill et Bertold Brecht (1930). La mise en scène a été confiée au malin Laurent Pelly, et à deux grandes chanteurs, la mezzo Marjana Lipovsek et le ténor Chris Merritt.

Et puis, jusqu'au 21 octobre, l'Opéra de Lyon accueille l'extraordinaire spectacle 'Le Rossignol et autres fables' de Stravinsky (1914) produit par l'étonnant metteur en scène canadien Robert Lepage. Avec ses marionnettes d'inspiration orientale, il fit un triomphe, en juillet dernier, au Grand Théâtre de Provence lors du festival d'Aix 2010. Une expérience unique, exceptionnelle, à ne manquer sous aucun prétexte.


Gérard Mannoni

Les incontournables Faire découvrir cet article à un ami

Le roi des galeries relance l’art à Paris



L’installation près des Champs-Elysées de Larry Gagosian, le plus puissant des marchands d’art, va donner un coup de fouet au marché parisien. Il complète une offre déjà riche. | Réagir ÉRIC LE MITOUARD | 23.10.2010, 07h00 « Nous sommes ravis. C’est un vrai succès », se réjouit Serena Cattaneo, codirectrice de la toute nouvelle galerie de Larry Gagosian. Ce marchand d’art américain de 65 ans, sacré personnalité la plus influente du monde de l’art 2010 par un magazine britannique, a enfin choisi de s’implanter à Paris. Il a ouvert cette semaine, rue de Ponthieu, entre les Champs-Elysées et l’avenue Matignon, où de nombreuses galeries sont spécialisées dans l’art contemporain.
Celui qui règne déjà sur un empire de huit galeries, situées aux Etats-Unis (trois à New York, une à Los Angeles) et en Europe (deux à Londres,u ne à Rome, une à Athènes), a inauguré mardi ses 900m2dont300m2 d’exposition aux murs blancs.

Un lieu vaste et lumineux

Le public y a été admis mercredi. Et, dès jeudi, les cinq œuvres du peintre américain Cy Twombly — d’une valeur de plusieurs millions d’euros chacune—se seraient déjà vendues. Maison n’en sait pas davantage car la maison est très discrète. Larry Gagosian lui-même n’accorde jamais d’interview, pas même pour fêter son entrée dans Paris.
« Ce lieu est vaste et lumineux. C’est impressionnant de trouver un tel volume ici », reconnaît Jérôme, 49 ans, après avoir poussé les doubles portes de la galerie. « Cette nouvelle adresse va dynamiser le quartier. C’est un attrait formidable », estime Marc Pauwels, responsable de la galerie Guy Pieters, autre grand nom de l’art contemporain, qui a ouvert un très bel espace d’exposition en mars.
Paris complète ainsi sa très jolie carte des galeries d’art. Saint-Germain était déjà une valeur sûre pour le mobilier des années 1950 et les œuvres du XXe. Le Marais et Beaubourg restent une place forte pour les anciens et les nouveaux marchands. Belleville attire une nouvelle génération tentée par ces grands espaces alors que la rue Louise-Weiss, dans le XIIIe, défend bien sa renommée.
Larry Gagosian va-t-il devenir le nouvel arbitre de la place de Paris ? « Personne n’a réussi à percer le secret de la réussite de celui que les critiques new-yorkais appellent le Requin », soulignent des journalistes américains. Les Parisiens, eux, comptent bien profiter de l’aura du roi du marché de l’art mondial.
Gagosian Gallery, 4, rue de Ponthieu (VIIIe). Ouverture du mardi au samedi de 11 heures à 19 heures.

Tous les articles de la rubrique Le Parisien

Musée des Beaux-arts: dans l'antre de Denis Gagnon

Publié le 23 octobre 2010 à 15h19 | Mis à jour le 23 octobre 2010 à 15h19
http://www.cyberpresse.ca/arts/arts-visuels/critiques-dexpositions/201010/23/01-4335488-musee-des-beaux-arts-dans-lantre-de-denis-gagnon.php

Musée des Beaux-arts: dans l'antre de Denis Gagnon

Ce sont les 20 pièces signées Denis Gagnon... (Photo Robert Skinner, La Presse)
Ce sont les 20 pièces signées Denis Gagnon qui nous interpellent le plus.
Photo Robert Skinner, La Presse
Ève Dumas
La Presse
Malgré le fait que le designer fête ses 10 ans de carrière, Denis Gagnon s'expose n'est pas une rétrospective. Ce n'est pas non plus une installation didactique sur la démarche du créateur. L'exposition présentée au Musée des beaux-arts de Montréal est une oeuvre immersive, qui nous plonge dans l'univers du créateur de mode le plus en vue du Québec.
Dans le carré d'art contemporain du MBAM, on a recréé une ambiance un peu grotte, caverneuse, qui peut rappeler le lieu dans lequel Denis Gagnon passe le plus clair de son temps, à savoir son atelier quasi souterrain.
Du plafond de ce grand cube descend une pyramide inversée à plusieurs faces faisant office d'écrans. On y aperçoit des scènes de défilés, des photos qui, elles, reviennent sur la vie et la carrière de l'artiste. La pointe, un peu menaçante, n'est pas sans rappeler l'esthétique plutôt sombre et punk des créations du «maître».
Sur les murs, des éléments choisis - chaînes, fermetures éclair, longues mèches de cheveux sombres - sont magnifiés pour recréer des sortes de paysages imaginaires.
C'est l'architecte bien connu Gilles Saucier (Usine C, boutiques Michel Brisson, etc.) et son équipe qui signent avec pertinence la scénographie de l'exposition. L'aspect audiovisuel revient au photographe Martin Laporte, un des plus réputés du milieu de la mode. On peut aussi admirer son travail dans le superbe numéro hors série que le magazine Urbania a réalisé sur Denis Gagnon. Portées par un mannequin dans une variété de contextes, les spectaculaires tenues du créateur brillent de toute leur originalité.
Bien que les éléments de cette installation soient conçus pour former un tout cohérent, ce sont néanmoins les 20 pièces signées Denis Gagnon qui nous interpellent le plus. Quinze d'entre elles sont des pièces créées pour la saison printemps-été 2011 ou pour l'exposition. Denis Gagnon y triture la rayure, dompte la frange et la chaînette, joue de la dentelle et transforme le cuir, une de ses matières fétiches. La fermeture éclair s'y fait plutôt sage, si l'on compare aux deux saisons précédentes.
Mais on ne pouvait évidemment pas passer à côté des spectaculaires morceaux dans lesquels le designer détourne magistralement le zipper pour en faire une matière première.
Les vêtements de Denis Gagnon contiennent tant d'informations qu'ils méritent amplement que l'on s'y arrête quelques instants, qu'on en fasse le tour pour apprécier tous les détails de leur étrange mais impeccable confection.
Entre Yves Saint Laurent et Jean Paul Gaultier, Denis Gagnon mérite bien sa place au Musée. «Je ne sais pas si la couture est un art, mais il faut un artiste pour la créer», a dit le grand Pierre Bergé, entrepreneur, mécène et compagnon de Saint Laurent. Maintenant, il ne lui reste plus qu'à garantir sa place dans le milieu de la mode.
Denis Gagnon s'expose est présentée gratuitement dans le carré d'art contemporain du Musée des beaux-arts de Montréal, jusqu'au 13 février 2011.
Partager

Musée des Beaux-arts: dans l'antre de Denis Gagnon

Publié le 23 octobre 2010 à 15h19 | Mis à jour le 23 octobre 2010 à 15h19

Jardin des Tuileries [Parc & Jardin] 75001 Paris

« Le plus ancien jardin public de Paris »

Partager  Partager sur Google Partager sur MySpace Partager sur Facebook Partager sur Twitter Partager sur Wikio Partager sur Viadeo Partager sur Yahoo Buzz

Accueil Toute la Programmation Critiques & Avis Galerie Vidéos Galerie Photos Anecdotes Aussi sur Evene Quizz & forum Idées cadeaux

Présentation
Le plus parisien de tous les parcs, décor de nombreux films, inspirateur d'artistes, est situé dans le premier arrondissement de la capitale. Implanté rive droite, il s'ouvre de part et d'autre sur la place de la Concorde et sur le musée du Louvre. Mais l'histoire de ce jardin ne date pas d'hier : de la Révolution au Second Empire, le jardin anciennement occupé par le Palais royal a subi de nombreux bouleversements. La disparition tragique du Palais est due à un incendie le 23 mai 1871. Quelques jours auparavant, dans l'effervescence révolutionnaire, trois grands concerts avaient eu lieu dans ce jardin comme pour annoncer par une fugue finale l'arrêt définitif de la grande horloge prise dans les flammes qui provoquèrent la gigantesque explosion que l'on sait.
C'est à Le Nôtre, régi par les ordres de Colbert, que nous devons aujourd'hui les fontaines et l'armature générale de ce jardin qui illustre à merveille le type du jardin 'à la française'. Vous pourrez vous y promener, mais aussi visiter, outre le célèbre musée des Tuileries, entièrement dédié aux 'Nymphéas' de Monet, la salle du Jeu de paume, sa voisine, située au fond du jardin. Cette galerie est désormais dédiée à l'art contemporain et à la photo.
> Découvrez "Jardin des Tuileries" sur
La programmation
En ce moment

Jean Prouvé

[Patrimoine & Architecture]

Lieu : Galerie Patrick Seguin - Paris
du 19/10/2010 au 10/11/2010
À l'occasion de la FIAC 2010, la Galerie Patrick Seguin présente pour la première fois la Maison Ferembal de Jean Prouvé (Nancy - 1948), adaptée par Jean Nouvel après restauration. La Maison Ferembal est un exemple de mise en application [...]
 Plus sur "Jean Prouvé"
(Archive)Androuet Du Cerceau
Cité de l'architecture et du patrimoine - Paris
du 20 Janvier 2010 au 2 Mai 2010
(Archive)Festival d'automne à Paris
Divers lieux - Paris
du 15 Septembre 2009 au 19 Décembre 2009
(Archive)Jardins, jardin
Jardins des Tuileries - Paris
du 30 Mai 2009 au 1 Juin 2009
(Archive)Pavillon des Arts et du Desi...
Jardin des Tuileries - Paris
du 1 Avril 2009 au 5 Avril 2009
(Archive)Jardins, jardin 2008
Jardins des Tuileries - Paris
du 30 Mai 2008 au 1 Juin 2008
Articles et dossiers

FIAC 2010

Le guide

Véritable chasse aux trésors pour les collectionneurs, le public et les professionnels, la Foire internationale d'art contemporain (FIAC) se déroule, pour sa 37e édition, du 21 au 24 octobre, à Paris. 194 galeries internationales d'art moderne, d'art contemporain et de design, y présenteront peinture, sculpture, installations, films, vidéos, arts numériques, design et performances.

 Lire "FIAC 2010"

TOUR D'HORIZON DES EXPOS DE LA RENTRÉE

De Londres à Sao Paulo...

Paul Gauguin à Londres, Frida Kahlo à Vienne, Andy Warhol à Baltimore, James Ensor à Bruxelles… La programmation des expositions mondiales de l'automne s'annonce éclectique. Si la plupart des musées de renommée internationale ont opté pour des expositions « sécurisantes », les propositions innovantes ne manqueront pas. Parmi les artistes contemporains les plus inspirés, figurent Takashi Murakami à Paris ou encore Odani Motohiko à Tokyo. Panorama des expositions incontournables de la rentrée.

 Lire "TOUR D'HORIZON DES EXPOS DE LA RENTRÉE"

JARDIN DES TUILERIES

Echappée parisienne

Accolé au Carrousel du Louvre, le jardin des Tuileries s'étale sur vingt-huit hectares en plein coeur de Paris. Promenade dans ce havre de verdure, témoin des tribulations de l'histoire et digne représentant des "jardins à la française".

 Lire "JARDIN DES TUILERIES"
Les informations [pratiques]
Jardin des Tuileries
Place de la Concorde
75001 Paris
Ouverture :
Octobre à mars : de 7h30 à 19h30 - De mars à mai : de 7h à 21h - De juin à septembre : de 7h à 23h
L'avis du [public]
Et vous ? Vous avez visité ce lieu ? Faites-nous part de vos impressions !
http://www.evene.fr/culture/lieux/jardin-des-tuileries-5072.php

samedi 16 octobre 2010

Les-graffitis-de-Basquiat-s-exposent-au-MAM

http://www.lejdd.fr/JDD-Paris/Depeches/Les-graffitis-de-Basquiat-s-exposent-au-MAM-227281/
Le musée d'Art moderne de la Ville de Paris (MAM) met le peintre graffeur Jean-Michel Basquiat à l'honneur, à l'occasion d'une rétrospective, jusqu'au 30 janvier. Jean-Michel Basquiat a été le plus jeune et premier artiste noir à exposer à la Biennale du Whitney Museum of American Art à New York. Il est mort d'overdose à 27 ans, après avoir entre autres collaboré avec Andy Warhol. Tarifs: 11€ / 8€ / 5,50€. Gratuit pour les moins de 14 ans;

Mr Joker - Le sale type

vendredi 15 octobre 2010

L'Institut du monde arabe accueillera le Mobile Art Chanel

Par Géraldine Dormoy, publié le 14/10/2010 à 15:18


 L'Institut du monde arabe accueillera le Mobile Art Chanel
Projet d'implantation du Mobile Art sur le parvis de l'Institut du monde arabe.  
DR

Minute Mode - Après plusieurs escales, le lieu d'exposition conçu par Zaha Hadid arrivera à Paris en mars 2011.

 
Chanel a décidé d'offrir à l'Institut du monde arabe le pavillon d'exposition qui avait été dessiné par l'architecte britannique d'origine irakienne Zaha Hadid, lauréate du prestigieux prix Pritzker. Cette galerie d'art mobile avait été inaugurée en 2008 à Hong Kong, puis avait voyagé à Tokyo avant de finir son périple à New York, présentant des oeuvres inspirées par le célèbre sac 2.55 de Chanel.  
Le musée parisien ayant exprimé son souhait d'accueillir l'édifice, la maison de couture a accepté de le lui offrir. Il sera implanté en mars 2011 sur le parvis de l'Institut et accueillera des expositions orientées vers la création contemporaine en relation avec les pays arabes (source AFP).  


Unesco : les plus beaux sites

Mis à jour le : Le 05/08/2010 - Emmanuelle Grimaud
Réagissez !
L'Unesco a choisi une vingtaine de sites pour rejoindre les 890 lieux distingués précédemment. Deux sites français ont été ajoutés au patrimoine mondial de l'humanité. Ceux-ci rejoignent les 33 "merveilles françaises" comme le Mont Saint Michel ou le célèbre pont du Gard. Découvrez en image les nouveaux sites de l'Unesco !

La Réunion : 'l'île à grand spectacle'

Le parc national de Saint-Denis de la Réunion vient d'être classé au patrimoine mondial de l'humanité. L'île de la Réunion a suscité l'intérêt du comité par son travail sur le développement des énergies renouvelables.
Célèbre pour ses paysages spectaculaires, elle est baptisée ''"l'île à grand spectacle"''. La Réunion est dominée par deux massifs volcaniques et trois cirques impressionnants.
Le parc national couvre une superficie d'environ 100 000 hectares (40% de l'île). Il abrite "des forêts subtropicales, tropicales humides et des landes constituant une remarquable mosaïque d'écosystèmes et de paysages visuellement séduisants", a indiqué l'Unesco dans un communiqué.
Le thème retenu par le comité est ''"Pitons, cirques et remparts de la Réunion"''.
''© Photo : shutterstock''
http://www.planet.fr/monde-unesco-les-plus-beaux-sites.19820.1608.html

Deuxième numero du magazine d’al-Qaida «Inspire» destiné aux jeunes djihadistes

bandeau
Le deuxième numéro de «Inspire» la revue des terroristes d’al qaida est sorti :
« Foncez en voiture sur les trottoirs bondés de piétons »  Le numéro est plein d’ articles et de conseils utiles à tous ceux qui veulent tuer leur prochain, et avise de se méfier des délateurs.
 coverWashington- La revue Inspire, rédigée en anglais par des militants d’al-qaida au Yémen, a publié son deuxième numéro sur internet et il est rempli d’articles et de conseils pratiques pour tous ceux qui veulent tuer leur prochain. Dans cette édition l’article le plus intéressant est celui qui traite des actions individuelles à accomplir dans les pays ennemis. Son auteur, Yahyia Ibrahim, suggère aux moudjahidines qui vivent en Occident de foncer en voiture sur les trottoirs bondés de piétons ou  contre les tables des restaurants à Washington et dans d’autres villes. Une tactique simple déjà utilisée dans le passé par les militants du Hamas à Jérusalem. Et il ajoute que le modèle de voiture idéal est un véhicule 4x4 qui peut être rendu plus meurtrier en ajoutant des lames tranchantes sur les pare-chocs. Il encourage les terroristes à choisir de préférence les zones piétonnes les plus étroites de façon à empêcher la fuite des victimes. De plus, si le candidat au martyr a un pistolet, il peut l’utiliser ensuite pour achever les blessés. Mais Ibrahim avertit : c’est une »mission sacrificielle« un terme que les terroristes musulmans utilisent pour indiquer que c’est une attaque semblable à un attentat-suicide et qu’il est difficile d’en sortir vivant.
Dans ce numéro de 74 pages abondamment illustrées, on conseille aussi aux moudjahidines à ne pas se rendre nécessairement au Pakistan : « Agissez en Occident, pour tuer le serpent, frappez-le à la tête » et entre autres recommandations, on leur suggère de faire attention aux délateurs, d’éviter de fréquenter des djihadistes avant de passer à l’action mais aussi d’être prudents en utilisant les courriers électroniques.
Pour les spécialistes de la lutte anti-terroriste cette revue a tendance à redire des choses déjà publiées mais il faut en surveiller le contenu puisqu’elle s’adresse aux «nomades du djihad», à ces jeunes originaires du Moyen-orient  qui vivent en Occident et qui désirent se joindre aux projets d’al-Qaida. De fait, derrière la revue Inspire on retrouve Samir Khan, un saoudien de 24 ans qui a grandi à New York et qui depuis l’année dernière vit  au Yémen où il a rejoint le groupe de l’imam Al Awlaki, un yéménite né au Nouveau Mexique. ( lire notre article ) C’est ce dernier qui a été l’instigateur de plusieurs attentats récents, incluant toutes ces opérations conduites par des activistes qui vivaient déjà en Occident comme l’auteur du massacre de Fort Hood ( lire ici ) ou encore comme le jeune nigérien de l’attentat manqué sur le vol Amsterdam-Détroit en décembre dernier. (lire ici )
Dans un autre article intitulé « Je suis fier de trahir l’Amérique » ce même Samir Kahn parle de sa décision de quitter les États-Unis : « Je remercie Allah et je ris de ces agences de renseignement qui m’ont surveillé durant toutes ces années, à cette époque en Caroline du Nord, le FBI m’a envoyé un de leurs espions qui faisait semblant de vouloir se convertir à l’islam, Je suis un traître à l’Amérique parce que ma religion me le demande. Nous faisons voeu de mener le djihad pour le reste de nos jours soit pour arriver à soumettre le monde entier à l’islam, soit pour aller à la rencontre d’Allah comme combattants… Samir Khan affirme être membre d’al Qaida jusqu’à la moelle des os et déclare qu’il ne pourrait plus vivre aux États-Unis comme un citoyen modèle. De plus il reproche à l’Amérique d’avoir tué des “millions” de musulmans et de s’en sortir intact.
Traduction de Bivouac-ID
Source : IlCorrieredellaSera  DailyMail
Merci à Melba et à gvi25

jeudi 14 octobre 2010

Nouveau regard sur l'oeuvre d'un génie

MONET AU GRAND PALAIS

Alex Rifell
Partager  Partager sur Google Partager sur MySpace Partager sur Facebook Partager sur Twitter Partager sur Wikio Partager sur Viadeo Partager sur Yahoo Buzz 

Depuis le 22 septembre, le Grand Palais se propose d'éclairer l'œuvre de Claude Monet d'un jour nouveau.

Les Galeries nationales du Grand Palais feront à nouveau l'événement de cette rentrée en consacrant la plus grande rétrospective dédiée à l'œuvre de Claude Monet en France depuis 30 ans. Du 22 septembre 2010 au 24 janvier 2011, près de deux cents œuvres du peintre impressionniste, obtenues à travers le monde, seront réunies sous une approche nouvelle.

Les organisateurs proposent une lecture inhabituelle du parcours de Monet, à travers un regroupement des tableaux par thématique et chronologie. Le public pourra suivre le parcours du fameux peintre, du début des années 1860 jusqu'aux derniers tableaux du cycle des nymphéas, qui sont suspendus sur les murs du musée de l'Orangerie à Paris. Les spectateurs auront l'occasion de revoir les toiles les plus connues de l'artiste, comme le fameux 'Déjeuner sur Herbe', 'Impression Soleil levant', la série de la 'Cathédrale de Rouen' ou encore 'Femmes au jardin', mais aussi des créations inédites.
Cette exposition est l'aboutissement de recherches sur l'artiste, menées depuis des années. La mise en scène fait des bonds dans le temps et dans les thèmes de la peinture de Monet pour mettre en lumière les notions de constance et de répétition qui hantent son œuvre, très inspirée de la nature. Cette rétrospective ambitionne de proposer une nouvelle approche de l'œuvre du peintre, en décryptant d'autres notions qui apparaissent sur ses toiles, comme la mémoire, le rêve ou encore la nostalgie.


Page 1/2
   [1] 2    Lire la suite de Nouveau regard sur l'oeuvre d'un génie »

Nouveau regard sur l'oeuvre d'un génie Faire découvrir cet article à 

Fondation Cartier

LA METAMORPHOSE DE MOEBIUS

Partager  Partager sur Google Partager sur MySpace Partager sur Facebook Partager sur Twitter Partager sur Wikio Partager sur Viadeo Partager sur Yahoo Buzz 

Jean Giraud, auteur de la BD Blueberry, a aussi un autre visage, bien différent de celui que pourrait laisser penser les aventures de son célèbre lieutenant. Depuis l'adoption d'un pseudo en 1962, il est aussi Moebius, un auteur qui révolutionna le genre. Sous le signe du double et de la métamorphose, la Fondation Cartier lui consacre une vaste exposition, « Moebius Transe Forme ». A voir jusqu'au 13 mars 2011.

Ce n'est pas la première fois que Moebius est invité à la Fondation Cartier. En 1999, à l'occasion de l'exposition collective '1 monde réel' qui explorait les rapports entre réalité, fiction et science-fiction, le dessinateur avait déjà présenté quelques carnets de croquis et, surtout, créé un genre de 'happening' artistique inédit : il avait organisé une discussion en direct avec l'astronaute Jean-Pierre Haigneré depuis la station Mir. Voilà qui pose le personnage, ou, du moins, l'une des facettes de cet auteur à la double identité : Moebius, auteur de SF, a la tête dans les étoiles, tandis que Jean Giraud a les pieds dans le Far West, cowboy sillonnant les étendues désertiques avec son lieutenant Blueberry.

C'est cette dualité, ce passage constant d'un monde à un autre, (puisque que Moebius comme Jean Giraud n'ont jamais cessé de créer parallèlement leurs œuvres dans des styles bien différents), qu'explore l'exposition 'Moebius Transe Forme'. On y (re)découvre les principaux personnages créés par l'auteur, de Blueberry en 1962 à Arzach en 1975, en passant par John Difool de la série L'Incal en 1980…, à travers la présentation de nombreuses planches originales. L'exposition s'attarde aussi sur le thème de la métamorphose dans l'œuvre de l'artiste.

C'est sans doute cette partie qui révèle toute la richesse de cet auteur. Dessins et carnets de croquis inédits dévoilent d'invraisemblables bestiaires et personnages incongrus (La Faune de Mars, 2006-2008), des planches originales de l'Eclosion, une séquence de dessins dans laquelle un homme se transforme en un magma informe (publiées dans Le Bandard Fou)… Tous contribuent à montrer l'intérêt de Moebius pour l'expérimentation graphique à la manière des surréalistes. Des peintures, des aquarelles et des croquis rappellent qu'il a également beaucoup collaboré avec le cinéma : Le 5e élément (personnage de la Diva), Alien, Le huitième passager (les costumes), Abyss (créatures sous-marines).

Enfin, la Fondation Cartier a, comme à son habitude, commandé un certain nombre de créations originales pour cette exposition. Les amateurs de Moebius pourront donc y découvrir, en avant-première, le tout premier film d'animation 3D de Moebius (La Planète encore), inspirée d'une histoire courte du Monde d'Edena, ainsi qu'un documentaire inédit sur l'artiste réalisé par Damian Petitgrew. A noter aussi que l'exposition se transformera courant janvier, en proposant un renouvellement de dessins et œuvres. Une manière, en quelque sorte, de rester fidèle au thème de la métamorphose selon Moebius.


Clarisse Bouillet

Fondation Cartier Faire découvrir cet article à un ami