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jeudi 31 mars 2011

Van Dongen au musée d'Art moderne de Paris: un "fauve" dans la ville

PARIS — Un tourbillon de femmes sensuelles, de couleurs éclatantes et de fêtes dans la Ville lumière: le musée d'Art moderne de Paris retrace les années phares de Kees Van Dongen, peintre fauve, de sensibilité anarchiste, devenu une figure des années folles et un mondain.
L'exposition présente jusqu'au 17 juillet quelque 110 peintures, dessins et céramiques, réalisées entre 1895 et 1931 par l'artiste d'origine néerlandaise (1877-1968). Elle a été conçue par le musée Boijmans Van Beuningen de Rotterdam en collaboration avec le musée parisien.
"Nous montrons la +bonne période+ de l'artiste", lorsque sa vitalité et sa créativité sont au mieux, souligne Sophie Krebs, commissaire de l'exposition avec Anita Hopmans.
Par la suite, Van Dongen a eu tendance à se répéter, multipliant les portraits mondains. Il a aussi commis l'erreur de participer en 1941 au voyage des artistes français en Allemagne organisé par la propagande nazie. Cela lui vaudra une mise à l'écart et une perte d'estime durable après la fin de la deuxième guerre mondiale.
Né dans un faubourg de Rotterdam, en 1877, Van Dongen est issu de la petite bourgeoisie. Son père dirige une malterie. Le jeune homme fait des études artistiques et fréquente les milieux anarchistes.
Il croque les rues populaires de Rotterdam. Son grand tableau "La chimère pie", où un cheval blanc et noir s'élance, semble symboliser l'énergie créatrice du jeune homme ambitieux.
En 1897, l'artiste part pour Paris, qui l'attire "comme un phare". Deux ans plus tard, il s'y fixe définitivement avec sa compagne Guus.
Installé à Montmartre, le jeune homme collabore à des journaux satiriques comme "L'Assiette au beurre". Il fréquente Félix Fénéon, critique d'art et anarchiste, qui préface le catalogue de sa première exposition personnelle chez Ambroise Vollard en 1904.
En 1905, il participe au Salon d'automne où sont moqués les "fauvistes" comme Henri Matisse ou André Derain, aux couleurs tranchées et contrastées.
L'année suivante, Van Dongen s'installe au Bateau-Lavoir. Il a pour voisin Pablo Picasso avec lequel il va au cirque et dont il peint la compagne Fernande Olivier. Il travaille en lumière artificielle. Ses couleurs sont crues, stridentes.
Ses "Lutteuses" (1907-1908), prêtes à en découdre, font écho aux "Demoiselles d'Avignon" (1906-1907) de Picasso, souligne Mme Krebs.
Ses voyages en Espagne, au Maroc et en Egypte, renforcent la puissance de ses couleurs. Les accessoires orientalistes, comme les châles, apparaissent.
Viennent les années Montparnasse (1912-1916) où il côtoie l'élite parisienne. Il fait scandale au Salon d'automne de 1913 avec "Tableau", un grand nu de Guus qui déploie son châle et ne cache rien de ses poils pubiens. La police s'empresse de le décrocher. La notoriété du peintre en sort renforcée.
"Il y a une dimension érotique chez Van Dongen. Il montre des femmes libres, émancipées", dans cette période de guerre où elles ont dû remplacer les hommes partis au front, souligne Fabrice Hergott, directeur du musée d'Art moderne de la Ville de Paris.
Van Dongen, qui vit à présent avec Jasmy, directrice très chic d'une maison de couture, devient le portraitiste couru des célébrités, aristocrates ou vedettes. Lui-même organise des fêtes débridées dans son hôtel particulier près du Bois de Boulogne. Ce sont les années folles, il les appelle les "années cocktail". Sa notoriété est au plus haut. Il prend la nationalité française.
"Van Dongen est fasciné par les +beautiful people+" comme le sera plus tard Andy Warhol. Tous deux ont été jugés superficiels avant qu'on ne les redécouvre", relève M. Hergott.
Il y a vingt ans, le musée avait déjà consacré une vaste rétrospective à Van Dongen.

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Que faire à Paris ce week-end?

  • Mon Figaro

Que faire à Paris ce week-end?

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Par Alice Bosio
25/03/2011 | Mise à jour : 13:16
Le Dokhan's (DR), Rango (Paramount Pictures) et L'Agence (UPI), Yamato (Lucienne van der Mijla) et le Musée d'art aborigène (Julio Piatti).
Le Dokhan's (DR), Rango (Paramount Pictures) et L'Agence (UPI), Yamato (Lucienne van der Mijla) et le Musée d'art aborigène (Julio Piatti).

Un bar à bulles, un bon film, un musée d'art aborigène ou des tambours nippons, voici ce que le Figaroscope vous propose pour ce week-end !


Un bar à champagne : Pour un rendez-vous glamour ou une session confidence, filez au Dokhan's, le seul bar à champagne de la capitale du très chic hôtel Paris Trocadéro. Ambiance « Barry Lindon » garantie dans ce bar XVIIIe siècle au charme suranné. Les conseils avisés du barman vous seront utiles pour choisir parmi les soixante références de champagnes proposées. Et pour accompagner votre breuvage, foie gras, sushis et autres club sandwichs remplissent parfaitement leur rôle. Le seul hic : le coût élevé des bulles.
Dokhan's, Hôtel Paris Trocadéro. 117, rue Lauriston, XVIe. Tél. : 01 53 65 66 99. Tlj. Env. 40 € pour une coupe et une assiette de sushis.
» Les meilleurs bars à thèmes de la capitale

Un bon film : Deux longs-métrages sortis cette semaine ont retenu notre attention. L'Agence, qui offre à Matt Damon son premier rôle romantique, dans un thriller-science fiction sur le destin adapté, par le scénariste d'Ocean Twelve, d'une nouvelle de Philip K. Dick. Il y incarne un homme qui, par amour pour la jolie Emily Blunt, va combattre son propre sort, quitte à mettre en danger l'avenir de l'humanité ! Autre ambiance, le très réussi film d'animation Rango, de Gore Verbinsky (le réalisateur des Pirates des Caraïbes), raconte de façon décalée les aventures d'un drôle de lézard (doublé par Johnny Depp). Ce caméléon en chemise hawaïenne va devoir affronter les contrées sauvages de l'Ouest dans un western déjanté.
L'Agence, thriller romantique de science-fiction de George Nolfi avec : Matt Damon, Emily Blunt, Terence Stamp, John Slattery. Durée : 1 h 47 .
Rango, film d'animation Gore Verbinski avec : les voix de Johnny Depp, Isla Fisher, Bill Nighy. Durée : 1 h 40.
» Les sorties cinéma de la semaine

Découvrir l'art aborigène : Soyez les premiers à découvrir le musée Art Roch d'art aborigène d'Australie (Ier) qui a ouvert cette semaine ! La collection permanente du musée abritera dans ses caves voûtées cet art dans diverses expressions : peintures sur écorces, totems, représentations de figures mythiques millénaires et peintures contemporaines. Pour fêter l'ouverture, quatre expositions sur ce thème se tiendront dans la rue Saint Roch qui se fédère autour de l'événement (Chapelle du Calvaire - 24, rue Saint Roch, Galerie Art Roch - 24bis, rue Saint Roch, Galerie Antonine Catzeflis - 23, rue Saint Roch, Galerie Yapa - 18 bis, rue Saint Roch).
Musée Art Roch, 24, rue Saint-Roch (Ier). Ouvert du lundi au samedi de 11h à 19h. Entrée libre.

Des tambours japonais : Il ne vous reste plus que ce week-end pour voir sur la scène du Casino de Paris les dix jeunes hommes et femmes de Yamato, troupe originaire de Nara (ouest du Japon), qui restaure la pratique ancestrale des grands tambours nippons. Dans le contexte bouleversant du drame qui touche le Japon, ces musiciens bouleversent la tradition d'un art minimaliste, en l'emportant vers l'exubérance de sons puissants et chorégraphiés, empruntant aux codes du manga, des arts du cirque et à la gestuelle de l'aïkido. Ils accrochent un beau sourire à leur face, mais frappent avec rage la peau de leur tambour, comme pour conjurer la peur qui les étreint.
Yamato, les tambours du Japon, Casino de Paris, 16, rue de Clichy (IXe). Tél. : 0892 392 192. Horaires : ven. à 20h, sam. à 16 h et 20h, dim. à 13h et 17h. Jusqu'au 27 mars. Places : à partir de 40 €.

ET AUSSI
• Le rendez-vous est pris pour les fans du rockeur préféré des Français, qui se retrouveront dimanche à 23h50 dans le très probablement surpeupléVirgin Megastore des Champs Elysées (VIIIe), où Johnny Hallyday fera une apparition sur scène de 10 minutes pour présenter son dernier album.
• Dès aujourd'hui, et jusqu'à dimanche, les amateurs de vins passeront par l'Espace Champerret (XVIIe) où plus de 600 vignerons indépendants tiennent leur Salon (invitation électronique à imprimer ici).
• Si le soleil continue de briller ce week-end, voici une moisson de dix terrasses où vous prélasser avec ensoleillement garanti !
• Notre sélection d'activités à faire avec vos enfants cette semaine
• Samedi à 16 heures, les salariés de l'Elysée Montmartre, ravagé par un incendie mardi dernier, appellent à un rassemblement pour soutenir l'avenir de la salle.
Par Alice Bosio
Responsable Figaroscope.fr, Figaro.fr

Article paru dans l'édition du
Jeudi 31 Mars 2011

Bas-Rhin
Alsace centrale De vendredi à dimanche

Portes ouvertes chez les artisans d'art

C'est un monde un peu à part, de rêverie, de savoir-faire et de goût pour le beau, qui est à (re) découvrir ce week-end. Les professionnels des métiers d'art (céramiste, sellier, peintre, verrier, créatrice textile etc.) ouvrent pour trois jours leur atelier, de vendredi à dimanche.

Depuis quinze ans qu'elle existe, la fédération régionale des métiers d'arts d'Alsace (Fremaa) cherche à faire la promotion de ses membres, héritiers d'un savoir-faire parfois millénaire. Des métiers de plus en plus rares, mais qui ne sont de loin pas la chasse gardée de passionnés âgés. « De plus en plus de jeunes souhaitent nous rejoindre, parce qu'ils sentent confusément que ces métiers concernent toute leur vie », estime la présidente de la Fremaa, Anne Basté-Mantzer. Ces trois jours leur ...

Détails pratiques sur www.journeesdesmetiersdart.com. Prochain rendez-vous : Au coeur du patrimoine, les métiers d'art, à Andlau du vendredi 10 au lundi 13 juin. Infos sur www.fremaa.com

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Tremblement de terre au Japon

Société» Tremblement de terre au Japon

Vue apocalyptique

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Vue apocalyptique
Vue apocalyptiqueExplosion d'un réacteurDésertLes secours s'organisentAvion enseveliBord de mer ravagéListe des survivants
Un hélicoptère US SH-60B de la Naval Air Facility Atsugi vole au-dessus de la ville de Sendai, au Japon, afin d'aller fournir de la nourriture aux citoyens survivants.
Auteur : © AFP - Dylan McCord



http://www.ladepeche.fr/Tremblement-de-terre-au-Japon_di536-1.html
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ACTUALITE: CINEMA

The Company Men

REGARDE LES HOMMES TOMBER

Par Etienne Sorin
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La crise n'épargne personne. Pas même des acteurs de la trempe de Tommy Lee Jones, Ben Affleck et Chris Cooper, parfaits en victimes du capitalisme à visage humain. Écrit et réalisé par John Wells, un vétéran de la télé US, 'The Company Men' est la preuve que Hollywood peut encore capter l'air du temps et prendre le spectateur pour un adulte intelligent.

Après quelques velléités, 'The Company Men' ne s'est finalement pas lancé dans la dernière course aux Oscars. Face à une ballerine schizophrène (Natalie Portman, tout de même) et un roi bègue (le roi d'Angleterre tout de même), le film de John Wells a préféré la jouer profil bas. Il faut dire qu'un long-métrage social n'est sans doute pas le genre de glamour dont rêve l'Académie. Donc, malgré un casting pas vilain et habitué des récompenses (Tommy Lee Jones, Ben Affleck, Chris Cooper, Kevin Costner, Maria Bello), les licenciés n'ont pas enfilé de smoking pour tenter de décrocher une statuette.
Le script de John Wells, écrit au moment de l'éclatement de la bulle internet en 2001 mais jugé obsolète par la Warner dès les premiers signes de reprise économique, a longtemps pris la poussière au fond d'un tiroir. Avant que la crise de 2008 ne remette au goût du jour le chômage et ses dégâts collatéraux (endettement, libido en berne, etc). La crise a doublement profité à Wells puisque les propositions se raréfiaient à Hollywood et les acteurs se tournaient les pouces. Tommy, Ben et les autres ont même accepté de revoir leur salaire à la baisse pour que le projet se monte avec un budget loin des standards américains (15 millions de dollars, soit le coût d'un Coca pour James Cameron sur le tournage d''Avatar').

Acteurs en crise

Zoom
'The Company men' se coltine la crise sans filtre. Sans le cynisme de 'Wall Street – l'Argent ne dort jamais' d'Oliver Stone, ni l'ironie et la « cloonneytude » de 'In the Air' de Jason Reitman. John Wells regarde les hommes tomber à hauteur d'homme. Bobby Walker (Ben Affleck) est le premier à faire ses cartons, à renoncer à jouer au golf et à vendre sa Porsche. Phil Woodward est le second sur la liste. Et le visage ravagé de Chris Cooper, l'un des meilleurs seconds rôles à Hollywood depuis belle lurette, suffit à comprendre que le chômage n'est pas une sinécure. Last but not least, Gene Mc Clary (Tommy Lee Jones, génial) a beau baiser la DRH (Maria Bello), il rejoint bientôt la cohorte de white collar qui pointe chez Pôle Emploi. Ce portrait de groupe vaut aussi comme miroir de la condition d'acteurs à Hollywood. Comme son personnage, le it boy Ben Affleck est tombé de haut et s'est perdu dans un champ de navets (Oui, 'Daredevil', c'était lui) avant de remonter la pente comme réalisateur ('Gone baby gone', 'The Town'). Quant à Chris Cooper, à force de jouer les seconds couteaux, on peut supposer qu'un autre acteur plus jeune le mettra sur la touche. Tout comme Tommy Lee Jones d'ailleurs, dernier des Mohicans qui devra bien un jour renoncer aux plateaux de tournage pour des parties de bridge alcoolisées. Kevin Costner, lui, en acceptant un petit-rôle de charpentier marxiste, semble signifier qu'il n'en a plus rien à faire du jeu hollywoodien. Du moment, qu'on le laisse jouer de la gratte et chanter avec Modern West, le groupe de country qui lui permet de voyager à l'œil…

Esprit télé

Zoom
Derrière la caméra, John Wells est un inconnu et un débutant. Mais tout sauf un bleu à Hollywood puisque ce vétéran de la télé US a produit de nombreuses séries ('Urgences', 'A la Maison Blanche', 'New York 911') et des films d'auteur remarqués ('Loin du Paradis' et 'I'm not there' de Todd Haynes, 'Photo obsession' de Mark Romanek). 'The Company Men' est à ce titre emblématique d'une « écriture télé » qui apparaît désormais comme l'antidote à une production hollywoodienne de plus en plus formatée et insipide. « Écriture télé », la pire des insultes il y a encore quelques années est devenue au contraire un gage de qualité : pas une ligne de dialogues inutile, pas une once de gras, un sens de l'ellipse remarquable et efficace, des personnages complexes. Bref, autant de signes qui prouvent que le cinéma américain mainstream ne prend pas forcément le spectateur pour un crétin. Et qui font dire, pour certains, que si le cinéma indépendant, en tant que modèle économique et artistique alternatif aux grands studios, est mort, son esprit et son exigence survivent dans la fiction télé US. On peut se réjouir de cette poche de résistance. Ou bien se poser la question, avec plus ou moins d'optimisme : la télévision est-elle l'avenir du cinéma américain ?


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je voudrai conseiller un bon restaurant qui s'appelle Indian Mango et qui se situe à Reykajvik en Islande. Ce qui m'a plu dans ce restaurant c'est la nourriture exceptionnellement succulente et extraordinaire. Je suis végétarien et j'ai pu choisir beaucoup de choses dans le menu. Le personnel est très sympa, les prix très abordables.

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