BIENVENUE

Bonjour !

Je vous souhaite la bienvenue dans un univers consacré à l'art,
les traditions, la qualité de vie et aux produits français fins et/ou bio. ...

Cordialement

Dominique Goudot Hamon

Bonjour ! Je vous souhaite la bienvenue dans un univers consacré à l'art, les traditions, la quali

Bonjour !  Je vous souhaite la bienvenue dans un univers consacré à l'art, les traditions, la quali

Moteur de Recherche dogham Google

ANNUAIRE PARTULIERS MOBILES

toolbar powered by Conduit
"Ignorance est mère de tous les maux." -
François Rabelais

NEW CLASSICAL

L’œil de Google ausculte les plus beaux tableaux des grands musées

A Collection of Greek and Roman sculptures

samedi 24 septembre 2011

Edvard Munch, l'oeil moderne 1900 - 1944: Centre Pompidou - Paris



Edvard Munch, l'oeil moderne 1900 - 1944

Edvard Munch, l'oeil moderne 1900 - 1944

[Arts - Peinture & Arts graphiques] 
Lieu : Centre Pompidou - Paris
 
Dates : du 21 Septembre 2011 au 9 Janvier 2012
 
Partager  Partager sur Google Partager sur MySpace Partager sur Facebook Partager sur Twitter Partager sur Wikio 
  Conseillez "Edvard Munch, l'oeil moderne 1900 - 1944" à un ami

Présentation
Cette exposition, consacrée au peintre norvégien Edvard Munch, présente un ensemble d'oeuvres majeures du peintre. Ce projet propose un dialogue entre l'oeuvre picturale de l'artiste au XXe siècle et son intérêt pour les formes de représentation les plus modernes de son époque : la photographie, le cinéma, mais aussi le renouveau de la mise en scène théâtrale. Souvent présenté comme un peintre du XIXe siècle, symboliste ou pré-expressionniste, Edvard Munch est envisagé ici comme un artiste du XXe siècle, pleinement inscrit dans la modernité et l'avant-garde. L'exposition réunira cinquante neuf peintures, quarante neuf photographies d'époque, vingt quatre oeuvres sur papier, quatre films et l'une des rares sculptures d'Edvard Munch.
Informations complémentaires

Centre Pompidou - Place Georges Pompidou - 75004 Paris. Tel :             01.44.78.12.33      .
 En savoir plus sur le site : Centre Pompidou
L'avis [du public] 
Et vous ? Vous avez assisté à cet événement ? Faites-nous part de vos impressions !
 Donnez votre avis sur "Edvard Munch, l'oeil moderne 1900 - 1944"
Annonces Google
Exposition Art Contemporain
Rendez-Vs Pour L'art Moderne &
Contemporain. Expo. En cours !
Laurentstrouk.com/Exposition
Offres Massage à Nice
Les meilleurs massages de Nice
jusqu'à -70%, inscription gratuite
www.LivingSocial.com

Voir aussi sur [evene]

Les célébrités

Edvard Munch

Edvard Munch

Peintre et graveur norvégien
Né à Hedwak le 12 Décembre 1863
Décédé à Ekely le 23 Janvier 1944
Edvard Munch est, très jeune, touché par la perte d'êtres chers, d'abord sa mère à l'âge de cinq ans, sa soeur préférée à l'âge de quatorze ans puis son jeune frère en 1895. De ces traumatismes, Edvard hérite d'une tendance à la dépression nerveuse. C'est à Paris que Munch subit le choc de l'impressionnisme et donne à ses peintures, d'abord plutôt réalistes, un style original teinté de [...] 
 Plus sur "Edvard Munch"

Les lieux

Centre Pompidou

[Centre culturel & Institut]

Construit sur le plateau de Beaubourg, l'architecture du centre Pompidou n'a pas manqué de susciter de vives polémiques. Cet immeuble tout de verre et de métal, toutes tripes dehors, tuyauterie, ascenseurs et escalators, offre 78.000 mètres [...] 
 Plus sur "Centre Pompidou"

  Plus sur "Edvard Munch, l'oeil moderne 1900 - 1944" sur Evene.fr

Andy Warhol: Deux expositions inédites


23 septembre 2011

Warhol honoré à Washington

Deux expositions inédites de l'artiste pop ont lieu simultanément dans la capitale américaine.
Un portrait d'Andy Warhol par Timm Rautert. - REUTERS
  • Réduire la taille du texte
  • Taille du texte par défaut
  • Augmenter la taille du texte
  • Imprimer
Le pape du pop art, tient la vedette cet automne à Washington avec deux expositions inédites, l’une sur son obsession des médias et les gros titres, qui ira ensuite en Europe, et la seconde sur une oeuvre unique en 102 parties, jamais exposée. Regroupées sous le titre de Warhol on the Mall, les expositions présentent à partir du 25 septembre Warhol : Headlines(jusqu’au 2 janvier) à la National Gallery of Art et Andy Warhol : Shadows, au musée des sculptures Hirshhorn (jusqu’au 15 janvier).
Headlines (Titres) explore pour la première fois dans une exposition sur ce seul thème, l’obsession, qu’avait le peintre américain (1928-1987), célèbre pour ses séries et ses portraits de stars, pour les Unes et leur côté sensationnel. Quelque 80 pièces, peintures, photographies, films, dont 40% jamais exposés, montrent cet appétit insatiable du peintre qui s’empare dans les années 1960 de thèmes comme des accidents d’avion, l’assassinat du président Kennedy ou les amours tumultueuses de l’actrice Elizabeth Taylor. La première oeuvre en 1962, A Boy For Meg(Un garçon pour Meg) reproduit à l’huile, en grand format, une Une annonçant l’accouchement de la princesse britannique Margaret. Il reprend l’oeuvre plusieurs fois, jusqu’à enlever toute trace de la main de l’artiste, pour en faire un objet de série.

Une oeuvre unique en 102 parties

Le spectaculaire Flash - Novembre 22, 1963, réalisé en 1968, présente sur tout un mur un ensemble de dépêches d’agence relatant, minute après minute, l’assassinat de John F. Kennedy, mêlées à des photographies et des collages. Andy Warhol entend«attirer notre attention sur le fait que les médias nourrissent notre appétit insatiable pour les informations», indique la commissaire de l’exposition, Molly Donovan, ajoutant que Warhol«lui-même était insatiable»«Nous sommes à la fois consommateur et sujet des informations. Warhol veut nous montrer que nous en sommes responsables, que leur contenu est largement déterminé par notre consommation», dit-elle.
La mort de deux jeunes femmes de botulisme (maladie paralysante) ou le séisme de Naples en 1980 inspirent à l’artiste collages, sérigraphies, reproductions en série. «L’information n’est jamais tout à fait exacte. Il fait des choix, éditorialise, insiste sur les mots les plus provocants», indique Donovan.Headlines ira ensuite au musée d’art moderne de Francfort (11 février - 13 mai 2012), à la galerie d’art moderne de Rome (11 juin - 9 septembre) puis à Pittsburgh (14 octobre - 6 janvier 2013). Le musée Hirshhorn présente pour sa part Shadows(Ombres), une oeuvre que Warhol estimait être une peinture unique, de 150 mètres de long, qui n’a jamais été présentée dans son intégralité. Elle juxtapose 102 panneaux, sérigraphies ou acryliques, déclinant en rose, gris ou bleu, deux «ombres» prises en photo dans l’atelier de l’artiste.
(Source AFP)

11e BIENNALE D'ART CONTEMPORAIN


11e BIENNALE D'ART CONTEMPORAIN

Éclats de beauté à Lyon

Par Maxime Rovere
Partager  Partager sur Google Partager sur MySpace Partager sur Facebook Partager sur Twitter Partager sur Wikio 
Éclats de beauté à Lyon Faire découvrir cet article à un ami

Créée en 1991, la Biennale de Lyon est devenue un rendez-vous incontournable pour les amateurs d'art. Commissaire invité, la Brésilienne Victoria Noorthoorn a souhaité, en cette période de crise, traduire la complexité du monde. Evene, pour sa part, met en lumière les trois œuvres majeures de cette manifestation littéraire et sensuelle.

En choisissant pour titre de la 11e Biennale de Lyon un vers de W. B. Yeats, Victoria Noorthoorn, commissaire (indépendante) invitée, a souhaité mettre en valeur ses doutes et ceux des artistes à l'égard du présent : entre l'horreur et la beauté, l'attendrissement et la terreur. Cette « terrible beauté » se répartit sur quatre espaces – la Sucrière, le Musée d'Art Contemporain, la Fondation Bullukian et, pour la première fois, l'Usine T.A.S.E. à Villeurbanne – et montre des œuvres parfois impressionnantes, souvent subtiles, qui viennent de soixante dix huit artistes jeunes ou confirmés mais rarement connus en France. Pour affronter ce choc, on ne vous parlera ici ni des puissantes aquarelles de Marlène Dumas, ni des obsessions magnifiquement brodées par Arthur Bispo do Rosario, ni des peintures de Neal Tait. Voici seulement trois œuvres d'une telle efficacité qu'elles cassent la vie en deux : après les avoir contemplées, on ne regarde plus le monde comme avant. Vous oublierez un jour leur titre, peut-être le nom de leurs auteurs, parfois même le lieu exact où vous les avez vues. Mais elles ne s'effaceront qu'en distillant dans votre corps les fortes impressions qu'elles vous auront laissées.

Visiteurs pris au piège

 Zoom
Au Musée d'Art contemporain, tout le troisième étage est envahi par l'installation du brésilien Cildo Meireles intitulée « La Bruja 1 (La Sorcière) ». Ce sont d'abord, dans une première salle, des fils attachés aux plafonds, comme les restes de toile d'une araignée géante ; ils esquissent les lignes d'un dessin émancipé de la surface, gagnant dangereusement les trois dimensions du réel. Certaines d'entre elles parviennent au sol, s'y attachent et envahissent la deuxième salle, dont le sol est positivement tapissé par trois mille kilomètres de fil (heureusement légèrement élastique). Cet entrelacs invraisemblable embarrasse la marche. On peste ; on se tourne sur ses pas, retenu par le talon ; malgré tout on avance. Enfin, dans un coin de la pièce, toute cette effusion se rassemble et s'attache à un simple balai dont elle semble jaillir. La grande réussite de cette œuvre est qu'elle brasse de très nombreuses associations d'idées (depuis la marée noire jusqu'à l'activation des cauchemars les plus intimes, en passant par l'association entre le balai et le pinceau de l'artiste). Et comme Victoria Noorthoorn a obtenu de son compatriote que d'autres œuvres soient exposées dans la pièce, l'ensemble forme un dialogue à plusieurs voix. Magique.

Marée rouge

 Zoom
D'une marée l'autre : à la Sucrière est exposée l'œuvre qu'Eduardo Basualdo a créée spécialement pour la Biennale. Le jeune artiste argentin, né en 1977, y met en scène 'Le Silence des sirènes'. Dans une grande pièce s'étale sur environ 30m2 une sorte de bassin terreux, légèrement surélevé. Sa matière humide suscite la perplexité, et plus encore le trou central où l'eau glisse en filets translucides. Soudain le trou entre en éruption : un liquide rouge envahit tout le bassin. L'œuvre apparaît alors simultanément comme un paysage et une figure du corps humain. Il ne reste bientôt qu'un lac projetant au plafond ses reflets silencieux. Puis les plis se reforment, un siphon s'esquisse, se confirme, les reliefs engloutis apparaissent dans la transparence du liquide - et bientôt l'eau s'engouffre à grand fracas dans un trou parfaitement lisse. Si l'œuvre a d'abord l'apparence et les séductions des éléments d'un parc à thème (on n'est pas loin du bateau pirate), elle s'en détourne par son aspect à la fois médical, métaphysique et dérangeant. C'est un système où, comme le dit l'artiste, « le centre est le corps tout entier ». Troublant.

Poésie concrète

 Zoom
Enfin, distillée un peu partout à l'usine T.A.S.E. et à la Sucrière, la poésie concrète d'Augusto de Campos n'est certes pas une nouveauté : né en 1931, l'écrivain brésilien a commencé dès 1952 à briser la syntaxe et les autres normes linguistiques pour proposer une nouvelle forme d'expression. Mais ses poèmes, parfois brusques, qui jettent les mots au visiteur et se déforment habilement selon les perspectives, donnent le ton de cette Biennale : très littéraire et très sensuelle. Car toutes les œuvres ne sont pas spectaculaires ; mais elles révèlent un regard dont l'exigence et la subjectivité en font un véritable exemple.


 11e Biennale d'Art Contemporain de Lyon
Une terrible beauté est née
du 15 septembre au 31 décembre 2011

http://www.evene.fr/arts/actualite/11eme-biennale-art-contemporain-lyon-terrible-beaute-3435.php
Éclats de beauté à Lyon Faire découvrir cet article à un am

Rétrospective à Paris pour le peintre engagé Bruce Clarke


Afrique du Sud: rétrospective à Paris pour le peintre engagé Bruce Clarke
PARIS — Le "Musée des arts derniers" à Paris présente la première rétrospective de l'artiste d'origine sud-africaine Bruce Clarke, longtemps engagé dans la lutte anti-apartheid.
Dans son exposition "Who is afraid?" ("Qui a peur ?"), Bruce Clarke frappe avec ses portraits d'Africains anonymes, de foules, de boxeurs, peints en acryclique ou aquarelle par collages successifs sur des morceaux déchirés de journaux francophones ou anglophones. Comme des cicatrices.
"Je cherche à marier esthétique et engagement mais sans propagande (...) sans agresser", explique à l'AFP cet artiste de 53 ans, ayant grandi en Grande-Bretagne de parents sud-africains, et vivant désormais près de Paris.
"L'histoire n'est qu'une série de dominations orchestrées par une minorité au détriment d'une vaste majorité", note-t-il.
Plusieurs oeuvres portent sur le combat oublié du boxeur américain Jack Johnson, champion du monde poids lourds, qui se vit interdire de défendre son titre au début du 20e siècle aux Etats-Unis, parce qu'il était noir !
"Border patrol" présente trois femmes inquiètes sur fond bleu, la toile évoque des clandestins en route vers un pays européen.
Dans le catalogue, l'écrivain franco-congolais Alain Mabanckou décrit Bruce Clarke comme "un artiste aux aguets de l'Histoire".
Le Musée des Arts derniers dans le quartier du Marais se veut tourné vers la création africaine contemporaine, par opposition aux "Arts premiers" ou "primitifs" généralement évoqués quand on parle d'art africain, explique Olivier Sultan, fondateur et directeur de la galerie.
Selon lui, Clarke est "plutôt sans illusion (...) Ses oeuvres appellent à une réappropriation pour chacun de sa responsabilité critique, de sa vision, de sa citoyenneté".

Photo 1 sur 2
Un homme regarde une oeuvre de l'artiste d'origine sud-africaine Bruce Clarke le 23 septembre 2011 au "musée des arts derniers" à Paris (AFP, Miguel Medina)
Carte