PROMOTION DE L'ART DEFENSE DES PRODUITS NATURELS FRANCAIS PRODUITS BIO DEFENSE DE LA QUALITE DE VIE DEFENSE ET PROMOTION DES TRADITIONS
BIENVENUE
Bonjour !
Je vous souhaite la bienvenue dans un univers consacré à l'art,
Je vous souhaite la bienvenue dans un univers consacré à l'art,
les traditions, la qualité de vie et aux produits français fins et/ou bio. ...
Cordialement
Dominique Goudot Hamon
Cordialement
Dominique Goudot Hamon
Bonjour ! Je vous souhaite la bienvenue dans un univers consacré à l'art, les traditions, la quali

Moteur de Recherche dogham Google
ANNUAIRE PARTULIERS MOBILES
toolbar powered by Conduit |
"Ignorance est mère de tous les maux." -
François Rabelais
François Rabelais
DAILYMOTION
Live Radio
24/24 VIDEO
L’œil de Google ausculte les plus beaux tableaux des grands musées
L’œil de Google ausculte les plus beaux tableaux des grands musées
L’œil de Google ausculte les plus beaux tableaux des grands musées
Explore museums from around the world, discover and view hundreds of artworks at incredible zoom levels, and even create and share your own collection of masterpieces.
- Van Gogh MuseumAmsterdam
- GemäldegalerieBerlin
- MoMA, The Museum of Modern ArtNew York City
- The Metropolitan Museum of ArtNew York City
- Tate BritainLondon
- Freer Gallery of Art, SmithsonianWashington, DC
- RijksmuseumAmsterdam
- Alte NationalgalerieBerlin
- The State Hermitage MuseumSt.Petersburg
- The Frick CollectionNew York City
- Museum KampaPrague
- Museo Reina SofiaMadrid
- National GalleryLondon
- Museo Thyssen - BornemiszaMadrid
- The State Tretyakov GalleryMoscow
- Uffizi GalleryFlorence
- Palace of VersaillesVersailles
A Collection of Greek and Roman sculptures
dimanche 14 août 2011
EXPO 'BRASSENS OU LA LIBERTÉ'Gloire au gorillePar Olivier Bailly Après Miles Davis et Serge Gainsbourg, la Cité de la musique rend hommage à Georges Brassens, disparu il y a 30 ans. Un parcours qui renouvelle l'image de chanteur bourru. Grâce à de nombreux documents inédits et aux dessins décalés de Joann Sfar, on découvre un Brassens sensuel et généreux. Visite guidée en compagnie de Clémentine Deroudille, petite-fille de Robert Doisneau et commissaire de l'exposition à la Cité de la musique. Le regard que le dessinateur porte sur Brassens est drôle, parfois irrévérencieux. Décalé. C'est presque une exposition dans l'exposition. Un « serpent narratif », selon son expression. Cela aurait pu noyer le poisson. Pourtant non, c'est un fil parallèle, une espèce de métaphysique absurde qui s'entremêle au travail de fourmi réalisé par son alter ego, Clémentine Deroudille. L'autre commissaire et véritable maître d'œuvre de Brassens ou la liberté a fouillé dans les archives pour dénicher les pièces rares : des chansons inédites que l'on peut écouter sur place et de nombreux documents audiovisuels. Tels ces films que Brassens tournait lui-même et ces extraits d'émissions de télévision où l'on voit le chanteur tétanisé par le trac ou essayant une guitare chez son luthier en compagnie d'un certain Maxime Le Forestier. Idem pour les nombreuses émissions de radio que l'on peut écouter sur des téléphones kitsch, la collection complète de ses disques vinyles originaux, des fiches de censure rappelant que Brassens fut le recordman des chanteurs interdits d'antenne, des manuscrits de chansons ou ce journal que le chanteur a tenu de 1963 à sa mort, en 1981. Surtout, Clémentine Deroudille donne un point de vue personnel, tendre et passionné, sur cet artiste dont elle parle avec enthousiasme : « Au départ je le prenais pour un grand-père. Au fur et à mesure de mes recherches, je me disais 'il est sublime, cet homme'. Je suis tombée un petit peu amoureuse de lui. » Brassens en russe ou créole Journaliste, éditrice et productrice radiophonique, Clémentine Deroudille est aussi la petite-fille de Robert Doisneau. Le photographe et le chanteur possédaient quelques amis communs, comme René Fallet, fidèle parmi les fidèles, dont un article retentissant dans Le Canard enchaîné marquera le début de son amitié avec « le gros » - à l'époque Brassens pèse plus de cent kilos. Tout feu, tout femme L'affiche de l'expo le représente en marcel. Une photo sur laquelle Sfar lui a dessiné une pipe et une flamme jaillissante. Tout feu, tout femme : « Le regard qu'il porte sur les femmes est magnifique. Toutes les grandes personnalités dans sa vie sont des femmes et les chansons qu'il a écrites sur elles sont sublimes. » Avec Jeanne, chez qui il habitera dès son arrivée à Paris à 19 ans, celle qui a compté le plus s'appelle Püpchen - poupée en allemand - alias Joha Heiman, son aînée de 10 ans. Ils ne se mettront jamais la bague au doigt, ne partageront jamais le même toit. Georges lui écrira le splendide 'La non demande en mariage', 'J'ai rendez-vous avec vous', 'Je me suis fait tout petit devant une poupée', 'Saturne', 'Rien à jeter'. Populaire et libertaire Au départ, Brassens écrit pour les autres. N'arrivant pas à placer ses chansons, il commence à les chanter lui-même, dès 1950. Un copain, à la Fédération Anarchiste, lui suggère d'aller voir le chansonnier Jacques Grello. Celui-ci lui conseille d'abandonner le piano pour la guitare. Avec son copain et secrétaire Gibraltar rencontré au camp de Basdorf, en Allemagne, pendant la guerre, il fait le tour des cabarets. Un autre copain l'envoie chez Patachou, le cabaret à la mode de l'époque. A la première audition, celle-ci lui prédit le succès dans les six mois. Quelques semaines après, le plus grand producteur de l'époque, Jacques Canetti, le découvre, le programme dans son théâtre des Trois baudets et lui fait enregistrer ses premiers disques (il lui restera toujours fidèle). En moins de dix ans il devient un monument de la chanson. Pas une star. On ne met même plus son nom sur les disques tellement il est célèbre. C'est un vrai chanteur populaire qui rallie tout le monde. Un libertaire qui ranime en chaque français sa rébellion latente. « Ce que m'a appris Brassens, explique Clémentine Deroudille, c'est ce que m'a appris mon grand-père, Robert Doisneau : l'élégance du comportement. C'est une conduite de vie et une générosité. Et puis je suis bouleversée par son écriture, sa manière de travailler les vers, sa culture littéraire, son exigence. » http://www.evene.fr/musique/actualite/exposition-brassens-ou-la-liberte-cite-de-la-musique-3172.php |
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire